La maladie de la tache noire touche régulièrement les rosiers. Les feuilles ont des petites taches noires puis jaunissent et tombent. Elle est due à la présence d’un champignon : le Marssonina rosae. Les rosiers botaniques et anciens sont assez résistants contrairement aux variétés issues des rosiers thé. Ce champignon se développe lors de chaque épisode pluvieux ou si vous arrosez le feuillage, par temps doux ou chaud (entre15 et 30°C). Les jeunes pousses sont particulièrement touchées.Les rosiers botaniques et anciens sont assez résistants contrairement aux variétés issues des rosiers thé. Renseignez-vous lors de votre achat.
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En prévention :
- Choisissez des variétés de rosiers résistants
- Plantez au soleil dans un sol bien enrichi et ne plantez pas trop serré, une bonne circulation de l’air est importante.
- Paillez les pieds des rosiers et bannissez l’arrosage par aspersion et le paillage aux écorces de pin.
- Si des taches apparaissent, ramassez les feuilles régulièrement et mettez-les au compost.
- De juin à septembre, la période d’attaque du champignon, pulvérisez toutes les 3 semaines un mélange de cuivre (type bouillie bordelaise) et de soufre.
- Pour jardiner au naturel préférez une décoction de prêle, la silice contenue dans cette préparation protège aussi de la rouille et de l’oïdium.
Source : Mireille GUILLON, CPIE Loire Anjou
En prévention :
- Choisissez des variétés de rosiers résistants.
- Plantez au soleil dans un sol bien enrichi et ne plantez pas trop serré, une bonne circulation de l’air est importante.
- Paillez les pieds des rosiers et bannissez l’arrosage par aspersion et le paillage aux écorces de pin.
- Si des taches apparaissent, ramassez les feuilles régulièrement et mettez-les au compost.
- De juin à septembre, la période d’attaque du champignon, pulvérisez toutes les 3 semaines un mélange de cuivre (type bouillie bordelaise) et de soufre.
- Pour jardiner au naturel préférez une décoction de prêle, la silice contenue dans cette préparation protège aussi de la rouille et de l’oïdium.
Source : Mireille GUILLON, CPIE Loire Anjou
